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Écrits politiques (1928-1949): Sur le socialisme, les intellectuels & la démocratie, by George Orwell
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Détails sur le produit
Broché: 408 pages
Editeur : Agone (4 septembre 2009)
Collection : Banc D'Essais
Langue : Français
ISBN-10: 2748900847
ISBN-13: 978-2748900842
Dimensions du produit:
12 x 2,8 x 21 cm
Moyenne des commentaires client :
4.4 étoiles sur 5
3 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
163.410 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Dans cet ouvrage,Orwell est ,en premier lieu,spectateur et commentateur puis il segmente plus profondément les avatars des promesses marxistes qu'il fustige comme dogme totalitaire.Un bel exercice de logique politique.
Les hommes politiques devraient lire Orwell. Cela les rendrait moins arrogants, moins cyniques, moins pétris de leurs certitudes. Mais ils nous diront que ce qu'Orwell nommait "décence commune", c'est du populisme!
George Orwell est surtout connu en France pour ses romans d'anticipation (on parle également de "dystopie") "la ferme des animaux" et le cultissime "1984". Mais Il fut également un brillant penseur politique qui nous laisse toute une série d'ouvrages, d'articles et d'essais, aujourd'hui largement traduits en français et qui mériteront encore longtemps d'être lus et médités.Pour comprendre la pensée d'Orwell, il importe au préalable d'avoir une vision succincte du parcours peu banal de l'homme. Né en 1903 aux Indes, il effectue de brillantes études en Angleterre avant de devenir policier en Birmanie ("une histoire birmane"), où il deviendra farouchement anticolonialiste. Il décide ensuite de vivre une vie d'écrivain bohème, sans grand succès, entre Paris et Londres ("Dans la dèche à Paris et à Londres"), avant de s'installer comme enseignant en Angleterre et de suivre ses inclinaisons anticapitalistes, en étudiant les conditions de vie du prolétariat britannique ("le quai de Wigan"). Cette expérience le convertira définitivement au socialisme, mais il restera toujours très critique à l'égard de ce qu'il appelle "l'intelligentsia de gauche" (ce que nous traduirions aujourd'hui par la « gauche caviar »...).Lorsqu' éclate la guerre d'Espagne, Orwell s'engage dans les brigades internationales et rejoint les troupes du POUM ("hommage à la Catalogne"). Arrivé antifasciste convaincu, il repartira d'Espagne anticommuniste virulent, en raison du comportement sur place des partisans de Staline. La guerre avec l'Allemagne s'annonçant, Orwell, après une période d'hésitation, devient un adversaire résolu des pacifistes, qu'ils soient communistes ou socialistes. Il s'engage dans la Home Guard, sorte de milice de défense civile constituée pour résister à une éventuelle invasion nazie, et milite pour une forme de patriotisme révolutionnaire, dans le double but de régénérer les structures sociales sclérosées du Royaume Uni et d'assurer la victoire contre les puissances de l'Axe (« le lion et la licorne » ). C'est durant ces années de guerre qu'Orwell peaufinera, dans de nombreux articles de presse, sa vision critique du totalitarisme, du socialisme et de la démocratie capitaliste ; réflexions qui aboutiront dans les dernières années de sa vie à la rédaction de ses deux oeuvres majeures : « la ferme des animaux » et « 1984 ». George Orwell décèdera des suites d'une tuberculose le 21 janvier 1950.L'ouvrage « Ecrits politiques (1928-1949) sur le socialisme, les intellectuels et la démocratie » rassemble quarante quatre articles, jusqu'alors inédits en français, qui dressent un panorama assez complet des idées politiques de l'écrivain britannique. Il y défend une vision du monde dont la justesse étonne encore soixante ans après. Tout d'abord, Orwell récuse l'idée, répandue à l'époque dans les milieux intellectuels de gauche, selon laquelle entre la démocratie capitaliste et le fascisme il n'y aurait qu'une différence de degrés et non de nature. Pour lui, en effet, quelles que soient les imperfections de la démocratie capitaliste, celle ci reste fondée sur une conception libérale de l'individu et de ses droits ; ce qui n'est pas le cas des régimes totalitaires, qu'ils soient nazi ou communiste, où chacun peut à tout moment être arrêté arbitrairement et conduit sans procès pour une exécution sommaire. Orwell note à ce propos que certains bolcheviks, pourfendeurs de cette démocratie capitaliste honnie, seront les premiers à s'y réfugier lorsqu'un vent mauvais se levera contre eux au pays des soviets.....Cette mise au point effectuée, l'écrivain entame une critique de la démocratie capitaliste dont il estime qu'elle n'est pas non plus à l'abri de dérives totalitaires. Il remarque en premier lieu que pour que ce régime fonctionne, il est nécessaire que les partis de gouvernement susceptibles de se succéder au pouvoir appliquent globalement la même politique. Le droit de vote et la liberté d'expression y sont reconnus pour autant que l'on ne touche pas à l'essentiel, c'est à dire aux intérêts économiques et financiers de la classe dominante. Orwell doute ainsi qu'une véritable alternance, dotée d'un réel projet politique alternatif, puisse voir le jour dans le cadre de la démocratie capitaliste. On pense immédiatement à la situation de l'Espagne, à la victoire électorale des républicains et à sa violente remise en cause par la soldatesque franquiste. Plus près de nous, le Chili d'Allende subira quasiment le même sort 35 ans plus tard.....Orwell constate cependant que les projets politiques trop ambitieux, ceux visant à instaurer le paradis sur terre ou à créer un homme nouveau, finissent souvent mal et se terminent même généralement dans un bain de sang. C'est pourquoi, s'il est convaincu que la démocratie capitaliste ne constitue pas le meilleur système politique, il pense qu'elle doit quand même servir de base pour un projet de démocratie socialiste dont l'objectif ne serait pas le Grand Soir, mais simplement d'améliorer le sort du plus grand nombre dans le respect des droits essentiels de l'individu.L'hostilité de l'écrivain à l'égard du « capitalisme de laisser aller », selon son expression (on parlerait aujourd'hui de néo libéralisme), repose sur deux idées forces. Témoin direct de la crise de 1929, il est persuadé que le capitalisme est animé de pulsions autodestructrices qui le mèneront à sa perte. La crise financière de 2008 a bien failli lui donner raison et on serait curieux de savoir ce qu'il penserait aujourd'hui de l'industrie de la finance, cette superstructure du capitalisme financier qui ne produit rien et se contente de piller la valeur créée par l'économie réelle. Selon la thèse officielle, cette industrie de la finance aurait pour but de faciliter « l'allocation optimale de la ressource» entre les différents acteurs et permettrait ainsi d'accroître l'efficience du système économique. Nul doute qu'Orwell serait certainement très admiratif devant le désastre social et écologique et le gaspillage économique planétaire générés par cette « allocation optimale de la ressource »......En second lieu, l'écrivain considère que le capitalisme engendre lui même la violence qui le mine. Une société capitaliste, malgré sa richesse et son niveau de développement, ne peut être qu'une société où la délinquance et l'insécurité atteignent des sommets, non seulement en raison de l'accroissement des inégalités qui poussent toujours plus de gens vers la précarité, mais surtout parce que cette violence en constitue l'un des moteurs essentiels. Le capitalisme est en effet construit sur une idéologie de la confrontation permanente et non sur une quelconque idée de coopération. Ce qui compte c'est d'écraser l'autre et pour ce faire tous les coups sont permis , y compris violer la loi. Que l'on ne s'étonne pas dès lors de voir les entreprises, les sportifs, les automobilistes considérer comme normal le fait de ne pas respecter les règles. Notre président actuel n'a t-il pas lui même affirmé récemment qu'il avait construit toute sa carrière politique sur la transgression ? ! ?Pour autant, Orwell ne se fait guère d'illusion sur l'adhésion réelle des citoyens au projet socialiste, entendu comme projet de transformation radicale de la société. Ce que la majorité des électeurs voit dans le socialisme, c'est le plein emploi, la sécurité sociale et l'éducation gratuite, en un mot la perspective d'une vie meilleure. L'écrivain considère, en effet, que la majorité des individus n'aspire qu'à vivre une vie simple et paisible pour eux, leurs enfants et leurs proches ; ce qu'il appelle la « common décency » ou décence ordinaire. Un emploi stable, un logement décent et un minimum de justice sociale suffisent à satisfaire une majorité de citoyens. De cette réflexion, Orwell tire deux conclusions pratiques :- En premier lieu, la condition sine qua non pour que les partis de gauche gagnent les élections dans un régime de démocratie capitaliste c'est de ne pas se couper des aspirations réelles du peuple, telles qu'elles transparaissent dans la « common décency ». Orwell a régulièrement combattu les positions de l'intelligentsia de la gauche britannique comme trop éloignées des préoccupations quotidiennes des gens,.- en second lieu, il ne faut pas chercher à mettre en oeuvre des transformations trop radicales de la société qui risqueraient d'effrayer les électeurs et de déboucher sur un fiasco, mais de promouvoir des reformes simples et consensuelles destinées à améliorer le sort du plus grand nombre. Orwell, dans l'un des articles du livre, dresse le bilan des trois premières années du gouvernement travailliste, vainqueur surprise des élections de 1945 et constate que même lorsque la gauche applique son programme au plus près, il lui est très difficile de ne pas décevoir....Voilà donc un ouvrage que nos hommes (et femmes) politiques actuels seraient bien inspirer de lire avant de poursuivre leur course effrénée vers l'abîme...
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